La coupure de ruban tant attendue a eu lieu hier à Centre-Deux.
Comme à Lyon, il y a quelques années, comme à Brest, il y a dix jours, environ 1500 clients se pressaient dans la galerie marchande de Centre Deux pour l’inauguration officielle du magasin Primark de France.
Tandis qu’à l’extérieur, dans le froid, quelques manifestants dénonçaient sur des pancartes, « la mode jetable, à l’intérieur, la patronne pour la France de l’enseigne irlandaise, le directeur du groupe Klépierre et le premier adjoint stéphanois coupaient le ruban inaugural sous les applaudissements du personnel. Centre Deux, dont la structure a été refaite, compte sur cette locomotive pour attirer de nouveaux magasins et de nouveaux clients.
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Saint-Etienne Demain dénonce « les limites de la méthode Coué ».
La publication du palmarès national des villes de France « où il fait bon vivre » se traduit, cette année, par la poursuite d’une descente régulière dans le classement. Cette baisse constante ne pouvait échapper à la vigilance de la liste d’opposition municipale stéphanoise d’Isabelle Dumestre.
Pour l’association « Saint-Etienne Demain », les choix de la municipalité Perdriau sont « des choix stratégiques d’un autre temps ». Et de citer comme exemples la construction du centre commercial Steel, l’installation d’une troisième ligne de tram qui n’a toujours pas prouvé son utilité, la construction surréaliste et très coûteuse d’une patinoire olympique, un plan vélo dangereux…
Ce palmarès met à mal l’image de la ville qui poursuit son déclin malgré une sur communication sans rapport avec la réalité.
La French Tech Lyon-Saint-Etienne renouvelle sa direction.
Emilie Legoff, une chef d’entreprise de Lyon Métropole et Marc Chassaubéné, élu municipal et métropolitain stéphanois, bras droit du maire en retrait, Gaël Perdriau, viennent d’être reconduits, pour deux ans, dans leurs fonctions à la tête de la French Tech. Cette structure regroupe les start up et les licornes des deux métropoles voisines.
Un stricte parité est appliquée à tous les niveaux de l’association.
Celle-ci compte aujourd’hui 400 adhérents et emploie huit permanents.
Les Brèves de Pat. Françon depuis 2020