Les députés de la Loire LREM en action pendant le confinement
Les Brèves de Pat
Les députés LREM en action :
Spécialiste des questions de cyber-sécurité, d’intelligence artificielle, d’économie numérique de monnaie virtuelle, le député stéphanois, Jean-Michel Mis est membre du conseil national du numérique.
Le parlementaire vient de faire part de son analyse sur l’éventuel lancement d’une application de traçage. Dans ce cas, il souhaite que cet outil de détection de personnes contaminées reste anonyme et que les données soient détruites.
Et l’installation de l’application doit rester volontaire. Quant à son collègue forézien, Julien Borowczyk, il publie un communiqué relatif à une proposition de loi créant « un statut de reconnaissance nationale pour accompagner les enfants des soignants morts pour la France ». A notre connaissance, le texte n’a pas encore été déposé.
Le député médecin a repris son activité professionnelle et il assure des permanences au numéro d’appel d’urgence.
Questions sans réponses :
Depuis le début du confinement, le maire de Saint-Etienne multiplie les interventions dans la presse écrite, parlée et télévisée. Hier, l’élu, par ailleurs vice-président des LR et membre des instances dirigeantes de l’association des maires de France et de France urbaine, a été invité par France Info à commenter la conférence de presse du premier ministre.
Dans l’ensemble, l’élu ligérien a estimé qu’il restait encore plus d’interrogations que de réponses notamment sur les questions du masque, de la rentrée scolaire et des visites en EHPAD. Précédemment, Gaël Perdriau avait adressé plusieurs courriers en ce sens au premier ministre.
Mila :
Dans la revue numérique, Miroir social, le psychiatre stéphanois, Michel Debout, a publié un texte « être ou ne pas être Mila ». Le médecin rappelle, en préambule que l’adolescente a répondu à un « mail violent, machiste et sexiste« . Sa réponse s’adressait essentiellement à son agresseur et elle s’est hissée au même niveau d’agressivité. le cyber harcèlement est chose courante aujourd’hui.
En conclusion, il rappelle que le harcèlement est aujourd’hui la deuxième cause de suicide chez les adolescents.

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