La fin prochaine du Pôle métropolitain.
Sa dissolution est programmée pour le 31 décembre 2012. Une majorité d’élus de Saint-Etienne Métropole s’étaient prononcés en faveur du maintien de cette structure qui regroupent de grosses intercommunalités autour du Grand Lyon. Désormais, le dialogue entre les métropoles se fera à une échelle bilatérale et non plus globale.
Pour les opposants au maintien du Pôle, comme le socilaiste Pierrick Courbon, cette structure basée à Givors,était trop coûteuse De son côté, Hervé Reynaud, premier vice-président de Saint-Etienne Métropole, regrette la disparition d’une structure qui regroupe pour encore quelques semaines deux millions d’habitants. En tout cas, ce n’est pas la présidence terne du Pôle métropolitain qui aura marqué les élus et les habitants.
Les cent jours d’Andrée Taurinya.
Au moment où paraissent ces lignes, la seule députée LFI de la Loire sera prête à défiler dans les rues parisiennes à l’appel de Jean-Luc Mélenchon. A la fin de cette semaine, elle a invité la presse locale, en compagnie de Laetitia Copin, candidate verte malheureuse dans la première circonscription , à prendre connaissance du bilan de ses cent premiers jours à l’assemblée nationale.
Pour cette enseignante militante elle estime être la seule parlementaire ligérienne à représenter les classes populaires. Elle vit mal la présence au parlement d’un important groupe RN. Dans une NUPES qui commence à se fragmenter, elle reste une inconditionnelle du chef Mélenchon. Quant à l’ancien sénateur-maire socilaiste stéphanois, Maurice Vincent, il
vient de faire part à la presse locale de son ralliement au projet Cazeneuve, en cours de structuration nationale alors que le congrès du PS se prépare.
Les banquets fastueux de Laurent Wauquiez.
Le site Médiapart, après le scandale de la sextape stéphanoise, qui pourrait faire l’objet d’autres articles, vient de publier un sujet sur Laurent Wauquiez. Voici MM Perdriau et Wauquiez, pourtant peu amis, tous deux objets d’une enquête du média d’Edwy Plenel.
Le président de la région AURA est accusé d’organiser en vue de la présidentielle de 2027 de coûteux dîners gastronomiques auxquels sont invités des vedettes des mondes politique, économique, sportif culturel, associatif…Un récent banquet aurait coûté 100 000 euros.
Pour la Région chaque repas aurait coûté la somme de 165 euros. Les oppositions, du FN au PS, clament leur fureur. Une affaire qui tombe mal à quelques semaines des élections internes à la présidence des LR.

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