Lendemains de scrutin…
Le communiqué « en même temps » de Gaël Perdriau ».
En attente d’un tabouret ministériel qui tarde à arriver, le maire LR (pas encore Horizons) de Saint-Etienne sort du silence. C’est en qualité de président d’une des 22 métropoles de France qu’il s’exprime dans un nouveau communiqué pour constater l’usure de notre nation. Il souligne ensuite les dangers du programme de la NUPES qu’il juge démagogique et dangereux pour la paix sociale. Et il cite un certain nombre d’exemples en concluant par son souhait d’une défaite de la NUPES sur le plan local. Pour terminer, il appelle à voter équitablement pour les candidats LR et ceux de la majorité présidentielle à savoir Dino Cinieri, Emmanuel Mandon, Quentin Bataillon et Jean-Michel Mis. Après le scrutin, le climat pourrait se tendre au sein de la majorité municipale stéphanoise.
Deuxième tour : Le point de vie de Georges Ziegler.
Le président LR du conseil départemental a pris une part active dans la campagne des candidats LR de la Loire. Dans un communiqué, il constate les bons résultats enregistrés par les candidats de la droite et du centre dans les 4è, 5è et 6 è circonscriptions. Après avoir félicité Dino Cinieri, Jean-Pierre Taite et Antoine Vermorel-Marques, il appelle les électeurs à confirmer leur soutien à ceux qui incarnent les valeurs républicaines.Durant la campagne, le président du conseil départemental s’était placé à Saint-Chamond pour soutenir le candidat LR, Axel Dugua à qui il avait aussi adressé un message vidéo à l’avant-veille du premier tour. De son côté, Dino Cinieri tiendra une réunion publique, le 15 juin prochain à 18h30 à la Bourse du travail de Firminy.
Quentin Bataillon sur le pont.
Candidat de la majorité présidentielle dans la première circonscription, Quentin Bataillon aborde le second tour en tête. Le jeune candidat diffuse massivement son tract Dans celui-ci, il explique ce que seraient les conséquences d’un vote NUPES. Et de citer quelques exemples : l’isolement de la circonscription, le désaveu de la police , la hausse des impôts, la sortie du nucléaire, la baisse des pensions. S’il est élu, le candidat promet d’être dans la proximité. A cinq jours du vote, il enregistre de nouveaux soutiens locaux comme celui de Jordan da Silva, maire de Villars, de Pascale Fedinger, candidate PRG, d’André Mounier, ancien président de la CCI sans compter les soutiens nationaux dont celui d’Elisabeth Borne et de plusieurs ministres.

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