Le Groupe Kidiliz a été placé le 10 septembre 2020 en redressement judiciaire par le tribunal de commerce de Paris.
Toutes les solutions doivent être recherchées pour éviter les licenciements secs et préserver le plus d’emplois possibles. Le groupe doit également retrouver une trajectoire de rentabilité économique et être compétitif face à ses concurrents.
Je veux assurer les salariés du groupe de mon plein et entier soutien dans ces moments difficiles, mais également à leurs familles qui subissent la situation. Je tiens à saluer leur sens des responsabilités et leur engagement pour sauver leur entreprise.
J’ai directement pris attache auprès d’Elisabeth Borne, ministre du Travail, et d’Agnès Pannier-Runacher, ministre déléguée à l’Industrie, pour relayer les inquiétudes des salariés sur la situation préoccupantes de leur groupe et ses perspectives d’avenir. J’ai également rappelé l’implantation historique sur notre territoire du groupe Zannier, devenu groupe Kidiliz.
Alors que l’industrie du textile et du retail connaît depuis de nombreuses années une perte de vitesse en France, les ministres m’ont assurée de la mobilisation des services de leurs ministères pour rechercher une solution durable et pérenne qui permettra au groupe de surmonter la crise qu’il traverse.
Chacun des acteurs impliqués doit prendre ses responsabilités. L’actionnaire SEMIR devra accompagner les 2 600 salariés du groupe, dont 1 500 français, et s’impliquer pleinement dans la transformation du groupe afin qu’il retrouve sa rentabilité économique.
Je resterai très vigilante sur l’évolution de la situation du groupe et continuerai à accompagner, soutenir et relayer les inquiétudes des salariés.
Communiqué de Mme la Député de la Loire Valéria FAURE-MUNTIAN

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