Vous avez été plus de 250 à lire ce poisson d avril 2022, une ancienne adjointe m’en avait parlé a une époque ou j’étais pas dans la liste noire et donc il faut toujours se méfier des poissons d avril et des blogs qui sont lus sans subventions….
Pour rappel ce n’est qu’en 1819 que le projet définitif est voté sur l’emplacement actuel avec comme architectes Pierre-Antoine Dalgabio, architecte-voyer de la ville, et son neveu Jean-Michel Dalgabio. Ils réalisent ainsi un quadrilatère centré sur une cour à péristyle. L’élévation du bâtiment comporte un soubassement, un rez-de-chaussée et un niveau dit premier étage. La façade principale se situe au sud. Elle est composée d’un grand escalier qui mène à sept arcades surmontées de sept fenêtres en plein cintre qui constitue le corps central entouré de deux ailes.Entre 1858 et 1864, la construction est complétée d’un dôme de 51 mètres de haut venant remplacer le campanile prévu par Dalgabio, et d’un perron. Ces ajouts sont réalisés par l’architecte Boisson. Une horloge et des cloches prennent place dans le dôme, rythmant ainsi la vie des Stéphanois.
En 1872, sont scellées de chaque côté du perron, deux statues réalisées par le sculpteur Etienne Montagny, l’une représentant la Rubanerie et l’autre la Métallurgie. Contribuant à la notoriété stéphanoise, elles ont été léguées par la soeur du maire Hippolyte Royet en l’honneur de ces deux corps de métiers.
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