
La dette du CHU de Saint-Etienne est en partie épongée par l’Etat
La dette du CHU de Saint-Etienne est en partie épongée par l’Etat.
Il y a quelques semaines, le premier ministre, Jean Castex, avait effectué une visite à l’hôpital nord de Saint-Etienne en compagnie de la préfète de la Loire et du président du conseil de surveillance, maire de Saint-Etienne. Le chef du gouvernement avait promis de se pencher sur les projets de l’établissement. La réponse est arrivée en ce début août avec l’annonce par Jean Castex de la reprise de la dette de l’établissement hospitalier à hauteur de 35 millions d’euros.
Voici qui éclaircit considérablement l’avenir immédiat. Cette somme va permettre d’envisager rapidement la restructuration du bâtiment C et d’améliorer la sécurisation de divers services. Par ailleurs, on a appris l’augmentation du numerus clausus de la première année de la faculté de médecine pour faire face à la pénurie de médecins. Hier, mercredi, le CHU a été le point de rendez-vous de quelques dizaines d’anti pass sanitaires. Ils seront à nouveau dans les rues de Saint-Etienne samedi.
Une première distinction pour le centre commercial Steel.
Alors que l’on annonce l’ouverture de la halle Biltoki et de sa vingtaine d’artisans de bouche pour le 3 septembre, le centre commercial Steel ouvert depuis plus d’un an a reçu un Janus pour saluer son architecture futuriste. En cet été pluvieux, l’actualité commerciale de la métropole est marquée par l’ouverture partielle de la zone de Saint-Chamond la Varizelle. Selon les premiers consommateurs à se rendre sur le site qui se sont confiés au Progrès, ce pôle leur évitera de se rendre à Saint-Etienne. Il suffit d’ailleurs de se promener dans le centre-ville de Saint-Etienne pour constater la désertification commerciale de la préfecture de la Loire.
Une nouvelle tribune du professeur Debout.
Professeur de médecine, Michel Debout reste très actif sur le plan épistolaire. Fin connaisseur du milieu médical, il reste très attentif à l’évolution de la situation sanitaire complexe de notre pays. Après un ouvrage publié durant le confinement sur son approche du métier de médecin légiste, il vient de publier une nouvelle tribune sur le site Miroir social.
Dans ce texte, le médecin stéphanois interpelle le chef de l’Etat sur le thème : »Où est passé le principe de précaution « ?A celui qui est garant des principes républicains, il demande pourquoi ne pas avoir appliqué le principe de précaution dès le mois de février ? Selon le quotidien national; le Monde, cette hésitation à franchir le cap du confinement aurait été responsable de 14 000 décès supplémentaires sur les 117 000 enregistrés dans notre pays actuellement.

retraité bénévole

