Violent orage : Vers la reconnaissance de catastrophe naturelle.
Alors que les dégâts du violent orage sont encore visibles dans les communes du sud Loire, le classement de l’épisode en état de catastrophe naturelle est sur les rails. Au niveau de la préfecture , le secrétaire général travaille sur le dossier en coordination avec les maires concernés.
Le député Renaissance de la première circonscription, Quentin Bataillon, a saisi en direct le ministre de l’intérieur sur cette demande. A Villars, la mairie invite les résidents victimes de l’épisode climatique à contacter directement l’hôte de ville au 04 77 91 11 22. Dès le premier janvier prochain, une simplification du processus sera mise en œuvre.
Promotion de la vie associative.
Le premier week-end stéphanois de la vie associative se tiendra les 3 et 4 septembre au parc des expositions de Saint-Etienne. 230 associations réparties en cinq thèmes seront présentes à ce rendez-vous gratuit. Le public pourra se renseigner et assister à des démonstrations en ce qui concerne les associations sportives.
Le milieu associatif a énormément souffert de la i19 avec une montée de l’individualisme et du repli sur soi. Dans la Loire comme ailleurs, les effectifs sont en baisse et des associations parfois cinquantenaires disparaissent. Et aucun secteur n’est épargné comme celui de l’humanitaire à Saint-Etienne ou encore les associations d’anciens combattants.
Début de mandat compliqué dans la troisième circonscription.
Depuis son élection dans la troisième circonscription, le duo Mandon/Rochebloine se montre très discret. Tout juste si on a appris que le parlementaire avait repris le local de Valérie Faure-Muntian, l’ancienne députée LREM. Il a fallu une enquête d’une page du quotidien régional du Progrès pour révéler la proximité du duo avec le professionnel de la communication, Jean-Luc Granger, soupçonné de pédophilie lorsqu’il occupait le poste de directeur de cabinet de
l’ancien maire d’Yssingeaux.
Lors de l’élection législatives de juin dernier, Jean-Luc Granger fut directeur de campagne de Emmanuel Mandon. Interrogé par le Progrès, celui-ci dit « tomber des nues ».
Affaire à suivre.

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