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Saint-Etienne, la Banque de France va quitter son siège historique

Trente bougies pour l’Ecopôle du Forez.
C’est l’ancienne FRAPNA devenue FNE, fédération nature et environnement, qui a été à l’origine de la transformation d’une vieille carrière désaffectée en un site de biodiversité fréquenté par les chercheurs, les scolaires mais aussi les familles.

L’ancienne gravière accueille aujourd’hui 2000 espèces végétales et animales et le castor a même fait son retour. En trois décennies, la FNE en a fait un espace naturel, forestier et aquatique apprécié des ornithologues.
En 2022, après le confinement, la fréquentation de l’attraction numéro un de la commune de Chambéon a reçu plus de 10 000 visiteurs.

Pour cette année anniversaire, la FNE propose un programme complet d’animations diverses à consulter sur www.ecopoleduforez.fr.

A Saint-Etienne, la Banque de France va quitter son siège historique.
Dès l’an prochain, la succursale stéphanoise de la Banque de France va gagner le quartier de Châteaucreux pour s’installer dans l’immeuble de bureaux One Station dans un espace de 642 mètres 2.

Actuellement, la Banque occupe un bel immeuble du centre-ville, rue d’Arcole où elle dispose d’une surface de 5500 mètres 2.Cette administration emploie 30 salariés sur Saint-Etienne. Elle est aussi présente sur Roanne où elle a également déménagé pour des locaux plus petits. Ces transferts ligériens se situent dans le cadre d’un plan national de réorganisation du réseau en vue de faire des économies.

Le sénateur ligérien, Jean-Claude Tissot n’apprécie pas le vote bloqué.
Alors que le Sénat a jusqu’à demain soir pour achever l’examen de la future loi sur les retraites, le gouvernement a décidé de recourir au procédé du vote bloqué pour tenir les délais d’examen des nombreux amendements encore au programme. Depuis le début de la cinquième république, c’est seulement la troisième fois que le gouvernement recourt à cette méthode. Sénateur socialiste de la Loire, Jean-Claude Tissot dénonce cette loi qui, selon lui, va priver les Français « de deux ans de vie et de projets à accomplir ».

Le parlementaire ligérien déplore aussi le soutien de la majorité sénatoriale à cette mesure qui limite le débat.

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