LA PAGE de Christophe Meyer

Ancien policier helvétique, Christophe Meyer, nous livre un nouveau polar qui plonge le lecteur dans les mystères de la fin du troisième reich avec des répercussions contemporaines.

Sur notre site c’est la fête du livre toute l’année, depuis la rentrée Pat Françon nous présente un livre et une rencontre, aujourd’hui c’est LA PAGE de Christophe Meyer aux éditions Slatkine.

Ancien policier helvétique, Christophe Meyer, nous livre un nouveau polar qui plonge le lecteur dans les mystères de la fin du troisième reich avec des répercussions contemporaines.

Christophe Meyer est né en 1967 dans le Jura suisse. Flic à Genève, instructeur de plongée aux Maldives, animateur radio, bourlingueur, guitariste-chanteur dans un groupe de punk-rock… il est l’auteur de plus de deux cents textes de chansons. La Page est son sixième roman.

Les personnages sont bien campés et l’énigme insolite. Voici ce que nous en dit l’auteur :

Tout d’abord un grand merci pour votre intérêt à cette Page.
Êtes-vous policier ? Ou journaliste ? Aux vues de vos questions, question se pose 🙂

Votre carrière policière a-t-elle inspiré ce polar ? Ma carrière, bien que courte, dans la police, m’a certainement inspirée. À quel niveau, je ne saurais le dire. Les contacts qu’ils me restent à l’interne me permettent de prendre conseil pour peaufiner certains détails. Pour un prochain roman, je retournerai quelques semaines accompagner des patrouilles de police. 

.

Avez-vous été confronté, dans vitre carrière, à une punkette comme Léa ? J’ai croisé des punkettes, mais, pas que je sache, durant mon activité de shérif. Durant mes années musicien, fréquemment. Guitariste-chanteur d’un groupe de punk-rock, punkettes (et punk – avec ou sans look spécifique) fréquentaient souvent nos concerts. Mais aucune aussi attachante que Léa, sinon je l’aurais épousée !

.

Les bonnes relations police-presse sont-elles fictives ou réelles ? Les relations police-presse sont fonction de la personnalité de chaque intervenant. Parfois il y a atomes crochus, parfois incompatibilité d’humeur. 

Ce qui est certain, c’est qu’un bon flic pourrait être un bon journaliste. Et inversement. (Ces deux phrases ne répondent pas à votre question, mais peuvent y contribuer).
.
04 Octobre 2021