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La fusion des universités de Saint-Etienne et Lyon n’est plus à l’ordre du jour, mais les fusions continuent

Covid 19. Le point quotidien.
Même si un ralentissement du virus est constaté sur le plan national, il n’en est pas de même dans la Loire qui vient de franchir la barre des 100 patients en réanimation. Le nombre d’hospitalisations est de 912 et on dénombre sept décès pour les dernières 24 heures.

Sur le plan social, le démantèlement de Kidiliz s’annonce dramatique sur le plan humain.

Conseil municipal stéphanois.
Il se réunira le 16 novembre dans le respect des règles sanitaires avec deux points principaux à l’ordre du jour : l’adoption du règlement intérieur du conseil et le vote sur les conseils de quartier.

En ce qui concerne ceux-ci, leur nombre sera ramené à treize et certains d’entre eux seront d’énormes périmètres géographiques sans grande logique géographique et sociologique.Pour la majorité municipale, le but est d’enrichir la réflexion municipale en donnant la parole aux habitants.

Des secteurs regrouperont plusieurs quartiers et feront l’objet de réunions municipales régulières et codifiées.
L’opposition de gauche redoute un affaiblissement de ce mode de démocratie participative.

Enseignement supérieur. Une fusion Lyon-Saint-Etienne en vue.
Ne vous y trompez pas. La fusion des universités de Saint-Etienne et Lyon n’est plus à l’ordre du jour. Pour autant, on vient d’apprendre le mariage de l’ENISE, l’école nationale d’ingénieurs de Saint-Etienne, et de l’école Centrale de Lyon, une des plus prestigieuses écoles d’ingénieurs de France. Le mariage sera opérationnel le 1 janvier 2021.

Avec son école des mines, Saint-Etienne conserve un établissement de renommée nationale avec une nouvelle formation d’ingénierie de la santé. La préfecture de la Loire dispose aussi avec l’IRUP, institut régional universitaire professionnalisant d’une formation d’ingénieurs en alternance.

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